L'éviction du président de la CAF, de nationalité malgache, n'Âa laissé personne indifférent depuis la journée du 23 Novembre 2020.
Tout le monde prend la parole pour le défendre, ou pour l'incriminer.
Ce qu'on remarque, c'est que les mêmes personnes, fervents partisans et soutiens du pouvoir politique actuel, qui défendent becs et ongles cet ex-président de la CAF.
Ces personnes avancent plusieurs arguments sans aucune objectivité, comme : « Il est notre fierté », « Les BAREA sont là où ils sont grâce à lui », « Olombelona mety solafaka ».
Pourtant, ce qu'il faut retenir c'est qu'il s'agit d'une affaire disciplinaire. La FIFA s'est contentée de le limoger en infligeant une amende de 185 000 EUROS, sans porter plainte.
Alors, si AHMAD souhaite contester, et aller vers le terrain de la confrontation, il peut porter l'affaire devant une juridiction compétente où il pourra se défendre, voire attaquer et demander réparation à son tour.
On attend sa réaction sur le sujet. Bien évidemment s'il pense être une victime, il pourra plaider sa non culpabilité devant la justice.
Le reste n'est que l'expression d'un sentimentalisme politique, qui n'a pas sa place sur le terrain judiciaire.
H2R